Description
Toucher un salaire vital en contrepartie de son travail est un droit humain fondamental. Pourtant, ce droit est constamment bafoué dans le monde.
Les millions de travailleuses et de travailleurs de l’industrie de l’habillement gagnent parfois à peine plus d’un euro et demi par jour et restent prisonniers du cercle vicieux de la pauvreté, alors que les vêtements qu’ils produisent permettent à l’industrie de l’habillement et au secteur de la distribution de réaliser des chiffres d’affaires et des bénéfices qui se comptent en milliards.
Dans le monde entier, quelque 60 millions de personnes fabriquent les vêtements des grandes marques d’habillement, telles que H&M ou Zara.
Ces travailleuses et ces travailleurs produisent aussi pour des entreprises belges, comme JBC, Cassis-Paprika, E5 Mode ou encore Bel & Bo. Que ce soit en Asie, en Europe Orientale, en Turquie ou en Afrique du Nord, le secteur de l’habillement se caractérise, de manière systémique, par le paiement de rémunérations bien inférieures à un salaire vital.
Pour achACT, aucune entreprise ne peut prétendre travailler de manière « équitable » ou « éthique » tant qu’elle ne garantit pas le versement d’un salaire vital aux personnes qui fabriquent ses articles.
Enquête sur 55 marques et enseignes de mode présentes sur le marché belge. Que font-elles pour garantir que les travailleurs qui produisent leurs vêtements gagnent un salaire leur permettant de subvenir aux besoins fondamentaux de leur famille?
Bon à savoir
Le document est téléchargeable sur le site d’AchAct.
Conditions
Téléchargeable gratuitement ici : http://www.achact.be/upload/files ousvoulonsdesvetementspropres.pdf.